Que manger si je suis carencé(e) en fer ou anémié(e) ?

En France, on estime à 25% le taux de femmes non-ménopausées carencées en fer (végétariennes ou non).
C’est l’une des carences nutritionnelles les plus représentées dans notre pays (mais pas que). Le fer est un minéral présent en quantité intéressante dans les viandes, certains poissons et l’oeuf. Il est également présent dans les légumineuses et certains légumes (mais ce fer est plus difficilement utilisable par le corps).
Il est important de veiller à remplir ses besoins. Les femmes ont besoin de plus de fer que les hommes. Pour une femme adulte réglée, on estime les besoins journaliers entre 11 et 16 mg. Ces besoins augmentent lors de la grossesse.


Le confinement a complètement bouleversé mon alimentation, je n’arrive pas à retrouver mes anciennes habitudes.

Les confinements ont choqué beaucoup de monde et beaucoup d’organismes.
Notre psyché et notre corps ont pu vivre très difficilement des périodes. Pendant ces temps complexes, le corps et l’esprit s’adaptent comme ils peuvent.
Rien ne sert de vous auto-flageller : vous vous êtes adapté, vous avez fait du mieux que vous pouviez pendant ce moment inédit.
Pendant nos rencontres, nous travaillerons ensemble à déconstruire vos habitudes alimentaires actuelles, à chercher les raisons de ces comportements qui ne vous conviennent pas et à écouter les besoins de votre corps


Pourquoi aurais-je besoin de consulter une diététicienne alors que les librairies débordent de livres, magazines et articles sur l’équilibre alimentaire ?

En plus de participer à la culture des régimes et de l’amaigrissement et donc au body shaming, le but de ces articles est de vous forcer à vous comparer aux mannequins des photos. Et de vous faire penser que vous n’êtes pas assez (mince, galbé, ferme, beau, sportif…) ou trop (gros, mou, paresseux…).
Chaque personne est différente. Chaque histoire, envie, motivation, aspiration, relation à la nourriture, est différente et ne peut être résumée ou altérée par quelques lignes sur du joli papier. Le diététicien, de par son écoute et son accompagnement, s’adapte à votre parcours, à votre milieu de vie, à vous.


Mon enfant refuse de manger ce que je lui propose, d’utiliser la cuillère, ou ne mange que des morceaux !

Cela peut être normal et faire partie de la néophobie alimentaire de l’enfant, passage très fréquent et normalement transitoire. Si les difficultés persistent plus d’un mois, un diététicien peut repérer un potentiel trouble de l’oralité et vous accompagne, vous et votre enfant dans la résolution de ces troubles.


Je n’ai pas faim au moment des repas mais je mange quand même, pourquoi ?

Parce que la faim et l’action de se nourrir ne vont plus forcément de pair aujourd’hui, dans nos sociétés occidentales d’opulence où l’accès à toute l’offre alimentaire est devenu facile et naturel. Écouter son corps et agir en fonction de ses besoins spécifiques n’est pas facile. Grâce à mon approche, je peux vous aider à recréer du lien entre vous et votre corps.


A chaque fois que je commence un régime ou un réequilibrage, je finis par craquer !

Parce que la restriction et la frustration induites par les régimes ne sont pas tenables sur la durée. Alimentation et plaisir vont de pair et il est capital de redonner au plaisir sa juste place : au centre de nos tables ! Ensemble/avec moi, vous travaillerez à supprimer la frustration et les “craquages” et ainsi, à faire la paix avec votre corps.